Le château dans un village du sud

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il y a 9 ans
Les fantasmes du baron vont le conduire bien au delà de ses rêves les plus fous. Quand le monde viticole rime avec gynarchie, les résultats peuvent être étonnants
  • Combien de mecs qui, à défaut d'une vie entière, rêvent de vivre une longue expérience avec une ou des Maîtresses qui les domineraient puis leur imposeraient des jeux BDSM sexuels pervers et des humiliations ? Des milliers dans le monde pour ne pas dire des centaines de milliers. C'est avec eux que nous allons sauver la propriété, refaire le toit du château puis gagner de l'argent pour vivre et nourrir la famille. Déclare Sam à sa femme lors d'une réunion de famille devant leurs filles ébahies. Nous n'avons pas le choix, les vignes sont vieilles et souffrent de l'évolution climatique, le vin se vend de plus en plus mal et pour couronner le tout, nos deux filles dévergondées et divorcées sans emploi sont revenues vivre à la maison avec leur progéniture.

Le mot « dévergondé » fait bondir les filles, mais quand il leur rappelle que par deux fois il a du aller les chercher dans des tenues de pute au commissariat pour exhibition et pratiques BDSM sur la voie publique, elles ne peuvent que se taire et baisser les yeux.

  • Les tabous et les pudeurs familiales n'ont plus de raison d'être, nous savons tous que cette famille aime le BDSM puis les pratiques dites perverses. Pourquoi, je n'en sais rien mais au lieu de les pratiquer chacun de notre côté, nous allons maintenant les réaliser ensembles avec un esprit de solidarité pour sauver le château et nous permettre de vivre. Les filles arrêtez là vos jérémiades vous aimez le cul merde ! Hurle Sam devant sa femme blême. Vous n'avez aujourd'hui plus de logement, plus d'argent pour vivre, un gamin chacune et nous ne sommes plus en capacité de vous aider. Demain, j'emménagerai un de nos chaix en donjon, vous viendrez m'aider pour la décoration, nous achèterons avec le peu d'argent qu'il nous reste le fer qui me permettra de fabriquer les cages, piloris, croix et tout ce dont rêvent les soumis qui vont payer grassement les tourments que nous leur infligerons. Nous allons gagner du fric tous ensembles dans le cul et cela sans être tributaires des saisons et de la météo. La réunion de famille est terminée, je vous veux toutes demain à 10 heures au chaix situé sous le château.

Paul étant un homme particulièrement décidé, têtu et naturellement dominateur. Sa femme tout comme ses filles le craignant, le lendemain, toute la famille se retrouve au chaix malgré les sérieuses réticences et craintes qui les animent. Pendant le grand ménage et les premières réflexions sur l'agencement des lieux, il leur explique sa stratégie, ses idées et qu'il n'y aura jamais d'inceste ni de sexe au sens propre sauf si l'une des filles tombait amoureuse d'un des riches clients potentiels déjà repéré sur la toile et lors de ses voyages à l'étranger pour la vente du vin. Au fur et à mesure de l'avancé des travaux, les filles se prennent au jeu, commencent à adhérer au projet au grand dam de la mère particulièrement inquiète et gênée mais suffisamment soumise à son mari pour ne pas se rebeller.

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Si l'inquiétude grondait au départ, les installations réalisées par Sam, émoustillent ses filles.

La mère résignée, s'occupe de l'intendance en priant le ciel que tout cela ne génère pas de drame. Les murs sont témoins des jouissances éprouvées lorsque Sam, après avoir sévèrement fessée sa femme, la prise comme un f o r c e n é la nuit dernière. Entravée sur un tonneau, cette femme fontaine aux jouissances généreuses trempa le sol par trois fois en hurlant son plaisir. La nouvelle orientation de la stratégie commerciale du château n'était donc pas incompatible avec les orgasmes maternels toujours aussi bruyants....

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  • Notre premier client sera là demain, il nous donnera 3500 euros en espèce à son arrivée. J'ai communiqué avec lui sur www.fessestivites.com Son stage durera 3 jours, il achètera pour 1000 euros de vin par jour supplémentaire passé ici. Je compte sur vous pour faire en sorte qu'il ait envie de revenir. C'est un soumis moyennement maso, ses trips portent sur les contraintes réelles, l'enfermement, l'uro et l'animalisation. Monsieur se voit bien en chien. Je compte sur vous pour lui donner le plaisir qu'il vient, je vous le rappelle, acheter. Les filles, vous viendrez avec moi à l'aéroport. Sa prise en charge sera immédiate. Vous monterez tous les trois derrière, à la sortie du parking pour le menotter et aveugler. Pendant le trajet, vous avez carte blanche. Arrivés au château, vous le mettrez à poil dans la cage nous réfléchirons ensuite à ce que nous allons lui faire. D'ici demain, je vous laisse réfléchir en espérant que vos neurones perverses travaillent dans le bon sens.

Si la mère ne parvient toujours pas à entrer dans la stratégie décidée par le père, les filles quant à elles, développent avec lui un peu plus chaque jour une complicité débordante. Dans l'avion, la nuit pour le baron de la Tour est peuplée de rêves érotiques fous et de cauchemars générés par la peur. Celle des filles est tout aussi agitée mais en songes monstrueusement coquins tout comme les phalanges s'aventurant sous la couette dans la vallée des plaisirs.

Vendredi 7 heures

La famille au complet prend son petit déjeuner, la mère accompagne les e n f a n t s âgés de 5 et 7 ans à l'école, pendant que Sam et ses filles se rendent à l'aéroport pour récupérer le « colis ». Pendant toute la durée du trajet, les projets les plus pervers sont dévoilés par les filles qui, surexcitées, parlent et rient aux éclats de leurs délires.

La prise en charge du dit colis, se déroule comme prévu, le Baron de la Tour, rouge comme une pivoine, se laisse conduire par les filles on ne peut plus allumeuses tant elles sont excitées. Une fois assis entre les tigresses sur le siège arrière, le Baron perd en un rien de temps ses titres de noblesse. Menotté et aveuglé, il est contraint de s'étendre entre les sièges pour ne pas être vu par la police pouvant s'étonner de voir un homme masqué. Face à l'inconfort du plancher de la voiture, son naturel hautain revient au galop, un pied magnifiquement chaussé d'un botte à talon posé sur sa braguette le coupe net dans ses élans contestataires. C'est avec les escarpins de la charmante Julie aux cheveux blonds posés sur son visage qu'il fera une bonne partie du trajet. Lucie, particulièrement sexe, ne peut contenir son envie d'examiner le service trois pièces du colis âgé d'une soixantaine d'année.

  • Mais qu'est-ce que c'est que cette forêt vierge papy ? Tu aurais-pu t'épiler ou au moins te raser ! Tu seras puni pour ça ! Clame Lucie en tripotant le sexe flasque sans être gênée par la présence du père et de sa s?ur.

  • Il va y avoir du travail pour le dresser celui-là ! A peine monté dans la voiture il râle et ose se présenter sans même s'être fait beau pour ses Maîtresses ! Ajoute Julie à fond dans le trip.

Le baron même mort de peur, semble apprécier le contact de la douceur d'une main féminine de 25 ans jouant avec son service trois pièces prenant de l'ampleur.

  • Rêve pas papy, tu n'es pas là pour tringler ! Clame aussitôt Lucie.

  • Ce sera même le contraire si tu es sage. Ajoute Julie contenant difficilement un fou rire sous le regard glacé du père.

Arrivés au château, le Baron est prestement conduit au chaix pour être mis nu et encagé avec une gamelle d'eau en guise de rafraîchissement. Laissé seul plus d'une heure, il commence à s'affoler, les accessoires et matériels du lieu allant bien au-delà de ses fantasmes les plus fous. Les muscles de ses épaules lui font un mal de chien, ses appels restent sans réponse. Piégé face à lui-même et à ses fantasmes, sa richesse ne lui sert à rien. Lorsque Sam vient le voir, le Baron demande à être libéré puis à accéder à un certain confort. Il lui est rappelé que dans ses exigences lors des négociations préliminaires à sa venue, les Maîtres devraient faire la sourde oreille à ses suppliques quoi qu'il demande.

  • Un contrat est un contrat, je vous ai donné ma parole de respecter vos désirs, il est hors de question que je revienne sur mes engagements. Vous allez vous calmer et me parler avec respect ou je vous bâillonne et vous fais donner le fouet.

  • Je porterai plainte et vous ruinerai si vous ne me libérez pas tout de suite.

  • Vous rendez-vous compte que vos menaces pourraient vous conduire à finir votre stage au fond d'un puits ? Je vais oublier ce que vous venez de me dire et demander à mes filles de vous punir comme il se doit.

La Baron fou de rage hurle des insanités et menaces en voyant Sam l'abandonner à nouveau. Quelques minutes plus tard, lorsque les filles entrer dans le chaix, il les supplie de le libérer et n'obtient comme réponse qu'un saut d'eau jeté sur la cage. Julie passe la main entre les barreaux pour le saisir par l'oreille pendant que Lucie entre les barreaux entreprend de cravacher les fesses. Le chien fou abdique rapidement pour supplier à nouveau. Les s?urs le sortent de sa cage pour le conduire toujours menotté sous un portique mu par un treuil. Debout, penché en avant pour ne pas se cogner, il les supplie encore. Julie ceint son cou d'un collier fixé au carcan, puis passe des s a n g l e s sous ses bras pendant que Lucie fait de même avec ses cuisses. Le treuil s'anime et remonte le carcan. En un rien de temps, le Baron ressemble à un caniche suspendu les « pattes » arrières dans le vide chez un toiletteur.

  • Alors comme ça, tu voulais porter plainte et nous faire des ennuis, grand fou. Si le Canard enchaîné titrait : « Le baron de la Tour paye grassement des filles pour le traiter en chien, avant de les attaquer en justice » reconnaît que cela serait très mauvais pour ton image de noble non ?

  • Non madame, j'avais peur et j'ai mal, mais promis je ne me ferai pas. Pitié, retirez-moi les menottes, j'ai horriblement mal aux épaules.

  • Je ne sais pas, j'hésite. Seras-tu sage ?

  • Promis madame, je le jure, je serai sage mais de grâce, retirez-moi les menottes, c'est horrible.

  • De toute façon, avec nous tu vas avoir du mal à ne pas être sage ! S'écrie Lucie en lui claquant les fesses avant de s'esclaffer.

Julie lui retire les menottes puis entreprend de fermer la s a n g l e ventrale du carcan pendant que le Baron masse ses poignets avant de faire des mouvements de bras pour apaiser ses épaules. L'image de cet homme nu, suspendu par le carcan avec les membres dans le vide et sa grosse bedaine mise en valeur par la s a n g l e ventrale amuse follement les filles. Lucie, très sexe, entreprend d'une main de faire des mouvements verticaux avec le sexe mou du Baron.

  • C'est rigolo, j'ai l'impression de traire une vache comme ça.

  • Fait attention à toi, elle pourrait botter. Lui répond Julie en attrapant un énorme rouleau le ruban adhésif.

  • Tu as raison, il faut que l'on s'en occupe de suite avant qu'il ne soit pas sage.

Les soeurs font quelques tours de ruban adhésif autour des genoux du Baron puis lui font plier sa jambe gauche qu'elles bloquent contre sa cuisse en faisant un grand nombre de tours de ruban adhésif. L'autre jambe subit aussitôt le même sort, pendant que le Baron tente en vain de voir ce qu'elles lui font. Les jambes ainsi attachées, lorsqu'il sera posé sur le sol, il devra marcher sur les genoux s'il souhaite se déplacer. Elles entreprennent ensuite sous les yeux inquiet du Baron suppliant qu'on ne lui fasse pas de mal de lui enrober les mains de ruban avant de lui coller les avant bras contre ses bras avec une grande quantité de ruban.

  • Te voilà aussi habile qu'un chien. Pour te déplacer, du devra marcher sur tes coudes et tes genoux et pour boire ou manger, faire comme un gros toutou dégueulasse. Va chercher la cire, que le Baron toutou puisse apprécier l'hospitalité du château n'hésitant pas à prendre soin de la beauté du corps de ses hôtes. Demande Julie.

Le Baron inquiet demande aussitôt ce qu'elles vont lui faire et n'aura aucune réponse hormis une grande claque sur ses fesses.

  • Alors comme ça, tes trips portent sur les contraintes réelles, l'enfermement, l'uro et l'animalisation. Nous allons te faire vivre tes fantasmes comme convenu avec mon père. Cela se fera sous la contrainte et sans tenir compte de tes réfutations, conformément à tes demandes répétées deux fois dans tes emails. J'ai lu que tu n'es pas très maso, dommage pour toi, car j'aime le SM. Ma soeur est très portée sur le sexe, elle s'occupera de cette partie, moi je vais m'occuper de ton éducation de maso et mon père, qui préfère martyriser les filles, sera le Maître d'oeuvre. Il est bourré d'idées ce qui devrait t'amuser, enfin peut-être, mais prend garde à toi, c'est un très gros dominant. Je te conseille donc de ne pas le provoquer si tu ne veux pas vivre l'enfer.

Sur ces mots peu rassurants pour le Baron, Julie se rend à l'établi transformé pour la circonstance support de matériel SM pour y prendre des pinces à seins et des poids. D'une main experte, elle saisit le noble sein gauche pour y poser la pince enfoncée profondément dans les chairs derrière le téton pour qu'il ne s'arrache pas lors de tractions. Le Baron crie que ça fait mal, mais elle n'en a que faire et pose la seconde pince sur le second sein apeuré. Sans tenir compte de ses cris et jérémiades, Julie prend plaisir à accrocher les poids qu'elle lâche d'un seul coup, arrachant des cris cette fois justifiés à sa victime.

  • Qu'est-ce que tu es chochotte, je sens qu'on va bien s'amuser tous les deux, mais je vais devoir te bâillonner pour que tu ne nous casses pas les oreilles pour la suite.

  • Qu'allez-vous me faire demande le Baron affolé ?

  • Nous allons t'épiler car un soumis se doit d'être propre.

Lui reprocher de ne pas être propre est un affront supplémentaire pour le Baron qui prend le mot au premier degré et se défend des négligences reprochées. Il réclame d'aller aux toilettes, en lui donnant une gifle Julie coupe net les réfutations et demandes en lui mettant de f o r c e un gros bâillon qu'elle enfonce profondément dans sa bouche. Pour asseoir plus encore l'humiliation, elle prend une gamelle de chien qu'elle pose sur le sol juste au-dessous de la tête du Baron en lui expliquant que c'est pour que sa bave de chien ne tâche pas le ciment.

Lucie les rejoint avec l'épilateur qu'elle branche pour qu'il chauffe et ramollisse la cire. Les s?urs discutent entre-elles sans s'occuper du soumis maintenant mort de trouille et de honte. Le Baron regrette profondément d'avoir demandé une contrainte réelle et des humiliations, car il a compris qu'ici, il n'est pas au bout des peines qu'il a lui-même demandé un soir de délire. L'alcool et les fantasmes lorsque l'on passe « commande » ne font pas bon ménage, mais il est trop tard pour revenir sur ses demandes. Présentement, il est partagé sur l'attitude à avoir pour sa salive, soit déglutir bruyamment soit baver lamentablement. Un coup de cravache sur ses fesses le sort soudain douloureusement de sa réflexion. Le bond de peur et de surprise qu'il a fait dans ses liens se répercute aussitôt sur les pinces lestées accrochées à ses tétons en feu. Sa prostate commence à fuir, quelques gouttes d'urine mouillent le ciment.

  • Oh putain, il fuit ! J'ai oublié qu'il a envie de pisser. Prend la hottes en plastique et met-là-dessous, on ne va pas en plus faire le ménage.

En les écoutants, le Baron ne peut que s'enfoncer un peu plus dans l'humiliation. Lucie en plein délire entreprend de masturber le sexe qu'elle dirige vers la hotte comme si elle était en train de traire. N'en pouvant plus, il finit par craquer et se laisser aller. Le bien être de ce soulagement avec la verge tenue par une femme lui permet de commencer à entrer dans ses trips. La noble vessie vidée, son sexe commence sérieusement à réagir à la traite.

  • Regarde-moi ce porc, il bande. Clame Lucie haut et fort pour que le Baron ne manque rien des insultes.

  • L'épilation va le calmer. Allez, on commence par les fesses. Écarte-les, j'arrive.

La spatule très chargée, la cire est prestement étalée sur la zone anale. Par réflexe, sous la chaleur lui donnant l'effet d'une brûlure il serre les fesses comme un fou et s'agite en brayant dans son bâillon. Ses tétons font les frais de ses agitations désespérées. Avant même qu'il ne se remette, toujours avec autant de douceur Julie étale une autre spatule de cire sur les testicules. Le Baron hurle et serre les cuisses étalant la cire sur le creux de ses cuisses.

  • Maintenant qu'on la mise, il faut l'enlever, je te conseille de ne pas trop bouger, ou tes tétons vont souffrir. Tu vas voir ce que les femmes endurent pour plaire à leurs hommes et être propres.

D'un mouvement de tête, Julie désigne les fesses du Baron. Lucie les écarte ce qui a pour effet de commencer à arracher des poils et des plaintes. L'accroche faite délicatement, d'un geste vif et précis Julie tire la bande de cire emportant avec elle les nobles poils arrachés. Les cris et mouvements désespérés ne génèrent aucune pitié, pendant l'épilation durant bien trop longtemps au goût du Baron en sueur. Il apprécie avec une joie non dissimulé la phrase « c'est fini » et surtout la main étalant une crème apaisante sur les zones intimes en feu.

Lorsqu'un doigt froid se met à étaler du gel sur son anus, il ne se méfie pas en pensant que c'est de la crème apaisante. L'arrivée impromptue d'un objet froid forçant sa noble petite rondelle le fait aussitôt réagir mais il est trop tard pour essayer de le bloquer. La pointe du plug « queue de chien » est déjà à l'entrée et ses fesses lubrifiées ne peuvent rien pour éviter l'inévitable. Il beugle sous la surprise, la douleur et la honte, quelques claques sévères sur fesses accompagnent la prise de la « Bastille ». Pour maintenir le plug profondément enfoncé, Lucie réalise un shibari « très artistique » d'après Julie. Le string de cordelette maintien en place la queue de chien profondément logée dans le fondement du Baron. Le retrait des pinces à seins est une très sévère épreuve arrachant des hurlements à peine étouffés par le bâillon.

Sa gamelle pleine de bave et la hotte ayant recueilli l'urine sont déplacées, le treuil s'anime pour redescendre le Baron toutou. Les s a n g le s de suspension décrochées, le carcan remonte laissant sous lui un homme en appuie sur les coudes et les genoux.

  • Va dans ta cage, il va être l'heure de dîner ! Lui ordonne Julie avec une cravache à la main et un sourire sadique posé sur ses lèvres.

Pour le Baron, malgré sa posture, sa queue de chien et ses entraves l'obligeant à marcher comme un toutou, la cage n'est plus une prison mais un refuge dans lequel il espère enfin souffler. Avec beaucoup de difficultés, il se met en mouvement, Julie se place entre lui et la cage lui intimant l'ordre de passer entre jambes écartée. Lorsqu'il s'approche d'elle, Julie se baisse pour lui retirer son bâillon en lui rappelant qu'il doit les remercier s'il ne veut pas être puni. Pour ne plus souffrir, il abdique aussitôt le bâillon retiré en remerciant verbalement sa Maîtresse.

  • Du con, les chiens ne parlent pas, ils lèchent les mains de leur maîtresse en remuant la queue. Crie presque Julie en cravachant les fesses par deux fois. Commence par me lécher lies pieds ou je te massacre.

En perdition psychologique, le Baron dompté s'exécute sans même se poser de question. En voyant sa langue lécher consciencieusement ses bottes, Julie jubile de joie, humilier son soumis l'amusait, mais jamais au grand jamais, elle n'était arrivé à éprouver autant de plaisir. Après s'être fait lécher les mains, elle le fait entrer en « marche arrière » dans la cage. Lucie amusée du jeu de sa soeur lui apporte une gamelle d'eau et referme la porte. Le père, enregistrant tout depuis son bureau grâce aux caméras installées dans le donjon, arrive avec une gamelle de purée et de viande hachée préparée par la mère qu'il place dans la cage avant de la verrouiller à l'aide d'un gros cadenas.

  • Tu ne sortiras que quand tu auras tout terminé, ici on ne gâche pas la nourriture et encore moins celle des bêtes.

Le Baron tout honteux mais également excité par l'humiliation allant bien au-delà de ses fantasmes plonge la tête dans la gamelle pour essayer de laper. Lorsqu'il lève la tête pour voir ce qu'ils font, son nez plein de purée génère aussitôt chez les filles des commentaires peu honorifiques. Une couverture est jetée sur la cage, sa suite royale pour la nuit. Abandonné à son sort, il médite sur sa condition, ses délires, ses fantasmes l'ayant conduit ici en se demandant si ce n'était pas la pire des bêtises de sa vie. De son côté, la famille se retrouve pour un débriefing autour d'une bouteille de champagne. La mère inquiète n'apprécie pas du tout de voir ses filles s'amuser autant en dominant, elle aurait préféré pour sa progéniture qu'elle trouve un métier plus conventionnel. Vers 21 heures, les e n f a n t s couchés, elle se rend au chaix munie de couvertures supplémentaires et d'un oreiller. Les remerciements sincères et la docilité du Baron pendant sa réinstallation dans la cage l'émeuvent. Ce qui l'étonne le plus c'est qu'il ne demande pas à être libéré.

A suivre ici mais cela devient TRES chaud.....

Ecrivaillon

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